Un célèbre cabaret parisien, le Crazy Horse, base ses revues sur l’habillage de lumière de ses artistes. Et si ce concept fonctionne bien sur un spectacle vivant, pourquoi ne pas le tenter en photographie ? Telle a été ma réflexion pour lancer ce projet de shooting photo et j’ai immédiatement pensé à Julie comme modèle.
Les contraintes ont été multiples : il a tout d’abord fallu faire une session photo dans un noir quasi-intégral… ce qui n’est pas pratique pour diriger un modèle ou régler son appareil photo.
Ensuite, j’ai dû modifier à la volée les textures, quand je me rendais compte qu’elles n’étaient pas adaptées. Par exemple : couvrir le visage dans la texture n’est pas une bonne idée sur certaines d’entres-elles (le zèbre par exemple). J’ai alors pris la couleur dominante pour l’appliquer sur le visage. À propos de textures, à l’exception de la « mire de mise au point » que j’ai tracé moi-même, elles proviennent toutes de Pixabay.
Le résultat est tantôt sauvage, tantôt sexy, parfois poétique et même les trois à la fois, mais ceci est mon opinion et je vous laisse juger par vous-même !